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Ariège Agro-Ecologie

~ Pratiques et Ethique

Ariège Agro-Ecologie

Archives de Tag: agroforesterie

Qu’est-ce que l’agroécologie ? Une tentative de définition…

21 samedi Juil 2018

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aggradation des sols, agro-écologie, agro-écosystème, agroécologie, agroécologie paysanne, agroécosystème, agroforesterie, agrosylvopastoralisme, arbres, associations cultures-élevages, associations de culture, écosystème sol vivant, biodiversité, chaînes alimentaires, couverts végétaux, durabilité, Emmanuel Chemineau, fertilité du sol, gérer le carbone, gestion de l'eau, inocula, lutte contre l'érosion hydrique, maraîchage sol vivant, micro-climats, MSV, mulch, mulchs, non travail du sol, nourrir la vie du sol, paillage, pâturage tournant dynamique, phytostimulants, polyculture-élevage, régénération des sols agricoles, renforcement immunitaire, savoir-faire paysans, semis direct sous couvert, soins naturels, sol vivant, techniques culturales simplifiées, variétés populations

Qu’est-ce que l’agroécologie ?

C’est une approche de l’agriculture basée sur un ensemble de principes visant à la conception et au maintien d’agro-écosystèmes dans une perspective de durabilité. Un agro-écosystème est un système agricole ayant pour but de produire des denrées en ajoutant les composantes écologiques que l’on retrouve dans les écosystèmes naturels afin de ramener des processus biologiques qui ont été négligés depuis trop longtemps en agriculture conventionnelle. En effet, dans les agrosystèmes, les interventions des agriculteurs sont souvent maximales et peu de place est laissée à la vie.

Le sol vivant est au coeur des principes qui régissent l’agroécologie et des techniques qui sont appliquées.

L’écosystème sol vivant :

Le sol n’est pas que le seul assemblage de particules physiques entre elles. Il est bien plus que ça. Il est certes constitué d’une matrice physique (argiles, sables et limons notamment), mais il englobe tous les êtres vivants qui sont à l’intérieur (macro-organismes et micro-organismes), mais aussi et surtout les racines et les parties aériennes des plantes qui y poussent et également les animaux qui vivent dessus. Les végétaux (plantes et arbres) sont indispensables dans un sol vivant car leurs systèmes racinaires sont une interface essentielle où de nombreux échanges ont lieu. Les arbres notamment peuvent être considérés comme les pivots des agro-écosystèmes.

Un autre phénomène important existe. Il est basé sur les relations que les êtres vivants entretiennent entre-eux dans des chaînes alimentaires plus ou moins complexes, qui transforment à terme la matière organique animale et végétale en humus et en minéraux, contribuant ainsi à l’alimentation des plantes et à l’augmentation de la fertilité du système.

A partir d’un minimum de connaissances et de prise en considération des processus à l’œuvre au niveau de ce sol vivant, on peut pratiquer une agriculture agroécologique respectueuse du sol, en appliquant un certain nombre de techniques basées sur les principes suivants.

Les principes de l’agroécologie

  • Un travail respectueux du sol et de la vie qu’il abrite

Dès que l’importance de favoriser les processus biologiques à l’œuvre au niveau du sol est prise en compte, il devient nécessaire de trouver des façons respectueuses de travailler le sol. Il importe ici, comme dans d’autres domaines, de trouver le meilleur compromis entre le fonctionnement naturel du sol et les impératifs liés à l’activité agricole. Ceci est de la responsabilité de chaque agriculteur et les réponses apportées pourront donc varier d’une structure à une autre, mais une chose doit rester commune : la recherche d’aggradation (c.a.d. le contraire de la dégradation) du sol à moyen et long terme.

Des phases de transition sont souvent nécessaires à ce processus de changement vers des pratiques agroécologiques. En matière de travail du sol, le point de départ est bien souvent l’arrêt des labours profonds et systématiques. Ceci peut donc aller des techniques culturales simplifiées (travaux superficiels, travaux plus ou moins profonds sans retournement du sol) jusqu’au semis direct sous couvert et au non-travail du sol. L’implantation des cultures (semis ou plantation) se fait alors sans aucun travail du sol et dans des couverts végétaux (semés sur place et détruit) ou bien dans des mulchs (couverture du sol avec diverses biomasses). Dans les principes importants à retenir, le sol doit être couvert tout au long de l’année avec des plantes et des racines vivantes pour maximiser la vie du sol et les processus biologiques.

  • L’entretien de la fertilité du sol

Voici un point essentiel qui amène à une rupture fondamentale avec les pratiques de l’agriculture conventionnelle (chimique ou biologique). Il ne s’agit pas d’apporter aux cultures des éléments nutritifs (notamment le fameux trio des éléments majeurs NPK pour azote-phosphore-potassium), mais bien de nourrir la vie du sol pour ensuite nourrir les cultures et les animaux d’élevage. Et cette nourriture de la vie du sol passe par une chose fondamentale beaucoup trop oubliée depuis plus de 70 ans : donner des matières organiques (c’est à dire du carbone) à digérer à la vie du sol. Le rôle de l’agriculteur est alors de fournir le gîte et le couvert à la vie du sol et de gérer le carbone. L’aggradation d’un sol passe bien par la mise à disposition de carbone organique dans le sol couplée à la présence permanente de plantes et donc de racines vivantes (plantes cultivées et récoltées mais aussi plantes cultivées pour les laisser être décomposées par la vie du sol). En terme de techniques, on trouve là toute une diversité de pratiques : couverts végétaux, mulchs nourriciers, composts, fumiers, amendements organiques, mais aussi place des praires dans les rotations, BRF (Bois Raméal Fragmenté) et broyâts forestiers, etc.

C’est en amenant du carbone organique et en réduisant, voire en supprimant le travail du sol, que l’on peut parvenir à une régénération des sols agricoles sérieusement malmenés par les pratiques conventionnelles depuis tant de décennies.

  • Traitements et soins

Voilà un autre point essentiel à la constitution d’un agro-écosystème.

Classiquement, les traitements sur les cultures sont vus comme la lutte contre les ravageurs et maladies des cultures. Cette approche est une réalité lorsqu’une culture présente une attaque de maladies ou de ravageurs, mais elle n’est pas la seule réponse à apporter. Le problème des ravageurs et des maladies doit être pris en compte à l’échelle de l’agro-écosystème. Il convient de veiller à ce que ce dernier soit en capacité d’offrir suffisamment de ressources et d’abris pour les prédateurs naturels des ravageurs et c’est avant tout une question de biodiversité. Ensuite, il est assez intéressant de travailler en amont des difficultés en utilisant des techniques préventives avec notamment l’usage de soins naturels à base de plantes ou de micro-organismes. On parle de phytostimulants qui sont des produits permettant à la fois de stimuler les fonctions physiologiques des plantes ou des animaux, mais également d’induire une réaction de défense en l’absence d’agression véritable. Ceci peut grandement aider plantes et animaux en cas d’agression par des ravageurs et des maladies. On parle alors de renforcement immunitaire. A l’échelle du sol, il est également possible de travailler avec des inocula, c’est à dire des préparations de micro-organismes inoculées au sol pour favoriser certaines espèces bénéfiques aux processus biologiques et donc aux cultures et aux animaux.

  • Semences adaptées

Les semences sont un point fondamental en agriculture paysanne et en agriculture plus généralement. Lorsque l’on travaille sur des agro-écosystèmes il est important de prendre en compte le type de semences que l’on va utiliser. En ce sens, les semences paysannes de variétés-populations sont essentielles car elles sont reproductibles et permettent à terme une adaptation des plantes cultivées non seulement aux conditions pédoclimatiques de l’agro-écosystème mais aussi, et surtout, à l’évolution de ces conditions. La réglementation française en la matière ne tient absolument pas compte de ces facteurs et privilégie donc très largement les semences d’hybrides F1 non adaptées à l’évolution des agro-écosystèmes et dont les principes en terme éthique sont largement discutables.

  • Rotations et associations

Les rotations des cultures sont une pratique fort ancienne un temps délaissée par l’agriculture moderne. Mais elles reviennent en force, notamment en tant que principe essentiel en agriculture biologique et plus récemment en agriculture de conservation des sols. Le principe des rotations et d’alterner des cultures sur une même parcelle en se basant sur les familles botaniques, sur les besoins en fertilisation, sur le phénotype, etc. Les principes de rotations existent aussi en élevage avec les techniques de pâturage tournant dynamique par exemple ou encore l’alternance des espèces sur les pâtures en prévention du parasitisme. Lorsque l’on travaille sur un agro-écosystème stable, au bout de quelques années, on pourrait s’affranchir des rotations à partir du moment où les phénomènes biologiques de régulation de la fertilité et des ravageurs et maladies sont laissés au bon fonctionnement biologique du système. C’est ce que font certains maraîchers notamment dans ce que l’on appelle le MSV (Maraîchage Sol Vivant). Ceci peut aussi advenir si les associations de cultures sont prédominantes dans le système agricole mis en place. Les associations de cultures sont le contraire de la monoculture. Plusieurs plantes sont alors présentes sur une même parcelle et cohabitent ensemble au plus grand bénéfice de l’agro-écosystème. Il est à noter que les associations concernent également l’élevage avec les associations cultures-élevages ou la combinaison de plusieurs types d’élevage sur une même structure. Ces pratiques d’associations de cultures ne sont pas encore très développées car un frein majeur réside dans la recherche de productivité et de rationalisation des cultures en lien avec les récoltes et les impératifs économiques qui pèsent sur les agriculteurs. Néanmoins, il est possible de travailler dans ce sens. Une association de cultures majeure et indispensable à l’agro-écosystème est celle des arbres avec les productions agricoles (et pas seulement les cultures d’ailleurs puisque l’élevage est bien entendu concerné). C’est ce que l’on nomme agroforesterie ou agrosylvopastoralisme. Les arbres quels qu’ils soient, font partie de l’association de culture indispensable à la constitution et au maintien des agro-écosystèmes. Ils demeurent les pivots de l’agro-écosystème et ceci devient de plus en plus vrai avec les changements climatiques que nous subissons. Seuls les arbres sont en capacité de créer des micro-climats favorables aux cultures, aux élevages et à nous-même.

  • Gestion de l’eau

La gestion de l’eau est aussi un point essentiel dans le maintien des agro-écosystèmes. Les perspectives du changement climatique nous amènent à réfléchir à la gestion de l’eau en terme d’excès comme de manque. La gestion de l’eau impose de réfléchir sur les ressources existantes et celles à créer, sur les moyens de limiter les pertes en eau à tous les niveaux d’usages. En ce sens, les systèmes de mulch ou paillage ont toute leur place.

De même la manière d’irriguer peut être source d’économie ou de pertes d’eau. Les excès d’eau peuvent être envisagés avec des systèmes de captation puis de stockage des excès d’eau (drainage, baissières, haies, système de rétention, etc.). Le stockage de l’eau peut alors devenir une source pour l’irrigation à des périodes où elle viendrait à manquer. L’adaptation des plantes cultivées aux manques d’eau est aussi une problématique à creuser en lien avec les semences, de même que la lutte contre l’érosion hydrique à l’échelle de l’agro-écosystème.

  • Les élevages

La place accordée aux élevages dans l’agriculture est un point important. On envisage trop souvent l’agroécologie comme étant du seule champ des cultures. C’est une erreur. L’équilibre d’un agro-écosystème passe également par la place qu’y occupent les animaux d’élevage. L’hyper-spécialisation de l’agriculture a contraint nombre de structure à ne produire que des légumes ou que des céréales ou encore que des animaux alors que l’agriculture de nos grands-parents était basée sur les systèmes de polyculture-élevage où élevages et cultures étaient en symbiose sur une ferme. Il existe une grande complémentarité entre élevages et cultures au sein d’un agro-écosystème. Par exemple, on peut citer l’effet important sur le milieu microbien des ruminants qui mangent des végétaux et transforment totalement la cellulose de ces derniers et sont capables de restituer par leurs excréments de nombreux éléments bénéfiques au sol et donc aux cultures. Ainsi, les fumiers produits par les animaux d’élevage demeurent une source importante de fertilité pour le sol. Il existe dans plusieurs cultures des préparations de solutions microbiennes à base de produits des ruminants. Les animaux d’élevage et notamment les herbivores, ruminants en tête, peuvent contribuer au maintien d’agro-écosystèmes spécifiques comme on en trouve en montagne dans les zones d’estives. Enfin les systèmes de pâturages comme le pâturage tournant dynamique peuvent contribuer à l’amélioration des ressources pastorales de régions semi-désertiques.

Pour conclure…

Tous ces thèmes et techniques prennent tout leur sens et leur efficacité en lien les uns avec les autres. Tout comme ce sont les interactions entre tous les éléments d’un système qui apportent de la stabilité et de la résilience.

Plus généralement l’agroécologie est fondée sur des savoir-faire paysans qui sont précisés et améliorés grâce aux savoirs scientifiques. Le dialogue entre ces deux parties se fait d’ailleurs d’égal à égal. L’agroécologie n’est pas une invention de scientifiques coupés du réel dans un tour d’ivoire. Elle prend ses racines dans le socle des savoir-faire paysans à travers le monde.

L’agroécologie paysanne prend en compte également d’autres facteurs plus généraux comme notamment, la valorisation des ressources locales, l’usage d’équipements économes en énergie et la valorisation des produits et services en circuit court.

A noter : même si l’agroécologie paysanne comporte un volet technique conséquent elle est également basée sur un certain nombre de principes éthiques.

Félicitation vous êtes arrivés au bout de cet article ! Vous pouvez retrouver cette fiche au format pdf en cliquant sur le lien suivant :  Fiche thématique l’agroécologie.

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2017 et un nouveau programme de stages à la ferme la Fustière

19 lundi Déc 2016

Posted by ariegeagroecologie in Stages à la ferme

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agroécologie, agroforesterie, ariège, cultures, cycle de stages, ferme agroécologique, formation, formation permaculture, jardinage écologique, jardinage naturel, la Fustière, permaculture, stage, stages, stages à la ferme, Terre & Humanisme, Terre et Humanisme

Je suis heureux de vous proposer le nouveau programme des stages pour l’année 2017 sur la ferme agroécologique la Fustière avec 2 types de propositions :

• un nouveau cycle cycle de stages à la ferme sur le jardinage écologique entre les mois de février et juillet. Comme l’an passé je propose de nouveau 2 jours d’introduction à la permaculture et un nouveau thème sur les petits élevages qui sera traité début juillet 2017

• une semaine de stage « Cheminons vers l’autonomie » organisée pour le compte de l’association Terre & Humanisme du 7 au 11 août 2017. La première édition de ce stage qui a eu lieu en août 2016 a rapporté un franc succès.

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Renseignements et inscriptions là. Pour donner une idée du déroulement de ce stage vous trouverez le programme de celui de l’an dernier ici.

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Voyons en détail la proposition de cycle de stage à la ferme sur le jardinage écologique. L’ensemble des stages proposés constitue le cycle complet avec une progression en fonction des saisons mais chacun des stages peut être suivi indépendamment des autres. Comme l’an dernier nous poursuivons l’introduction de la permaculture comme méthodologie d’élaboration de jardins et vergers et en nouveauté cette année, une journée sur les petits élevages.

Le cycle comporte donc 11 jours de stages (6,5 heures, de 9 h à 17 h avec une pause déjeuner de 12 h à 13 h 30). Ils ont tous lieu sur la ferme agroécologique la Fustière sur la commune de Canté en Basse Ariège.

Pour plus de renseignements consultez les conditions de participation 2017. Vous y trouverez le tarif des journées.

Si vous souhaitez vous inscrire merci de nous renvoyer le formulaire inscription 2017 à notre adresse postale.

Le planning des stages est le suivant :

• 11 et 12 février 2017

1 –Stage introduction à la permaculture concevoir son jardin potager et son verger

La permaculture est une méthodologie de création de systèmes autonomes et durables. Ces systèmes peuvent être bien entendus agricoles et nourriciers, mais les principes peuvent être adaptés également aux systèmes humains : vie collective, entreprisextension-jardin-agroecologiquee, famille…
La permaculture se base sur les savoirs des sociétés traditionnelles (de même que sur les dernières avancées scientifiques en systémique, biologie, botanique, bio-climatisme) ainsi que sur le fonctionnement des écosystèmes naturels, gages de production et de résilience…
Ces deux jours vous permettront de connaître et comprendre éthique, principes et techniques de la Permaculture, pour les appliquer ensuite pour vous et vos proches.

• 25 février 2017 COMPLET !

2 – Assolement rotations associations

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Prévoir un assolement des cultures, connaître les principes de la rotation des cultures ainsi que les cultures associées dont l’agroforesterie

• 11 mars 2017

3 – Semis et plantations

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Connaître et pratiquer les différentes techniques de semis et de plantation des légumes

• 8 et 9 avril 2017 ANNULE !

4 –A la découverte du sol, véritable être vivant

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Comprendre et connaître le fonctionnement du sol, sa constitution, la vie qu’il abrite, source de sa fertilité

5 – Travailler la Terre en la préservant

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Connaître les techniques, les outils et les conditions optimales pour intervenir sur un sol en préservant la vie qu’il abrite

• 29 avril 2017

6 –Stage fertilité du sol : engrais verts, mulchs nourriciers et composts

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Comprendre l’action des engrais verts, connaître les principaux engrais verts et savoir les utiliser. Connaître les effets des mulchs nourriciers. Comprendre le processus de compostage et savoir réaliser du compost selon différentes méthodes

• 27 mai 2017

7 – Les soins naturels aux plantes et aux arbres

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Connaître les usages des produits de traitement, les vertus des plantes et les préparations microbiennes

• 17 juin 2017

8 – L’eau et les couvertures du sol au jardin

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Comprendre la problématique de l’eau et ses enjeux, savoir utiliser l’eau de façon efficace et économe. Comprendre l’intérêt de la couverture du sol, connaître les différents matériaux utilisables et savoir les employer

• 1er juillet 2017

9 – Semences et variétés, les trésors de la biodiversité

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Connaître les différents types de semences utilisables, apprendre à les extraire et les conserver

• 15 juillet 2017

10 –Petits élevages : des animaux et des cultures

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Bases pour démarrer un petit élevage : brebis, basse-cour, cochon, … Liens avec le jardin et les arbres

Chacune de ces journées de stages a lieu sur la ferme agro-écologique de la Fustière, située en Basse-Ariège sur la commune de Canté.

Si vous souhaitez obtenir plus de renseignements sur ces stages vous pouvez nous contacter en utilisant le formulaire de contact.

Nouveau programme de stages pour l’année 2016

21 lundi Déc 2015

Posted by ariegeagroecologie in Stages à la ferme

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agroécologie, agroforesterie, ariège, cycle de stages, ferme agroécologique, formation, jardinage écologique, jardinage naturel, la Fustière, stage, stages, stages à la ferme, Terre & Humanisme, Terre et Humanisme

 

En cette fin d’année, je suis heureux de vous proposer le nouveau programme des stages pour l’année 2016 sur la ferme agroécologique la Fustière avec 2 types de propositions :

• un nouveau cycle cycle de stages à la ferme sur le jardinage écologique entre les mois de février et juillet. Comme l’an passé je propose de nouveau 2 jours d’introduction à la permaculture et un nouveau thème sur les petits élevages qui sera traité début juillet 2016

• une semaine de stage « Cheminons vers l’autonomie » organisée pour le compte de l’association Terre & Humanisme du 8 au 13 août 2016. Renseignements et inscriptions là.

Voyons en détail la proposition de cycle de stage à la ferme sur le jardinage écologique. L’ensemble des stages proposés constitue le cycle complet avec une progression en fonction des saisons mais chacun des stages peut être suivi indépendamment des autres. Comme l’an dernier nous poursuivons l’introduction de la permaculture comme méthodologie d’élaboration de jardins et vergers et en nouveauté cette année, une journée sur les petits élevages.

Le cycle comporte donc 11 jours de stages (6,5 heures, de 9 h à 17 h avec une pause déjeuner de 12 h à 13 h 30). Ils ont tous lieu sur la ferme agroécologique la Fustière sur la commune de Canté en Basse Ariège.

Pour plus de renseignements consultez les Conditions de participation stages ferme 2016. Vous y trouverez le tarif des journées.

Si vous souhaitez vous inscrire merci de nous renvoyer le Formulaire inscription cycle 2016 à notre adresse postale.

Le planning des stages est le suivant :

• 27 et 28 février 2016  Attention stage complet !

1 –Stage introduction à la permaculture concevoir son jardin potager et son verger

La permaculture est une science de création de systèmes autonomes et durables. Ces systèmes peuvent être bien entendus agricoles et nourriciers, mais les principes peuvent être adaptés également aux systèmes humains : vie collective, entreprise, famille…
La permaculture se base sur les savoirs des sociétés traditionnelles (de même que sur les dernières avancées scientifiques en systémique, biologie, botanique, bio-climatisme) ainsi que sur le fonctionnement des écosystèmes naturels, gages de production et de résilience…
Ces deux jours vous permettront de connaître et comprendre Éthique, principes et techniques de la Permaculture, pour les appliquer ensuite pour vous et vos proches.

• 12 mars 2016 Attention stage complet !

2 – Assolement rotations associations

Prévoir un assolement des cultures, connaître les principes de la rotation des cultures ainsi que les cultures associées dont l’agroforesterie

• 26 mars 2016

3 – Semis et plantations

Connaître et pratiquer les différentes techniques de semis et de plantation des légumes

• 16 et 17 avril 2016

4 –A la découverte du sol, véritable être vivant

Comprendre et connaître le fonctionnement du sol, sa constitution, la vie qu’il abrite, source de sa fertilité

5 – Travailler la Terre en la préservant

Connaître les techniques, les outils et les conditions optimales pour intervenir sur un sol en préservant la vie qu’il abrite

• 7 mai 2016

6 –Stage engrais verts, mulchs nourriciers et composts

Comprendre l’action des engrais verts, connaître les principaux engrais verts et savoir les utiliser. Connaître les effets des mulchs nourriciers. Comprendre le processus de compostage et savoir réaliser du compost selon différentes méthodes

• 28 mai 2016

7 – Les soins naturels aux plantes et aux arbres

Connaître les usages des produits de traitement, les vertus des plantes et les préparations microbiennes

• 18 juin 2016

8 – L’eau et les couvertures du sol au jardin

Comprendre la problématique de l’eau et ses enjeux, savoir utiliser l’eau de façon efficace et économe. Comprendre l’intérêt de la couverture du sol, connaître les différents matériaux utilisables et savoir les employer

• 2 et 3 juillet 2016

9 – Semences et variétés, les trésors de la biodiversité

Connaître les différents types de semences utilisables, apprendre à les extraire et les conserver

10 –Petits élevages : des animaux et des cultures

Bases pour démarrer un petit élevage : brebis, basse-cour, cochon, … Liens avec le jardin et les arbres

Chacune de ces journées de stages a lieu sur la ferme agro-écologique de la Fustière, située en Basse-Ariège sur la commune de Canté.

Si vous souhaitez obtenir plus de renseignements sur ces stages vous pouvez nous contacter en utilisant le formulaire de contact.

Formation Première Expérience En Agriculture et SIL Techniques de Conservation des Sols

19 vendredi Sep 2014

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agroécologie, agroforesterie, BPREA, CFPPA Ariège-Comminges, conservation des sols, Pamiers, PEEA, SIL, TCS

Logo CFPPA

Le CFPPA Ariège-Comminges (Centre de Formation Professionnelle et de Promotion Agricole) propose une formation PEEA (Première Expérience En Agriculture) du 9 octobre prochain au 19 décembre 2014. Cette formation est la porte-ouverte à une autre formation qualifiante plus longue sur les techniques de conservation des sols, une SIL (Spécialité d’Initiative Locale) qui aura lieu en suivant, de janvier à juin 2015 et dans laquelle j’interviens comme formateur.

Cette SIL comprend 820 h de formation dont 420 h de stages en exploitation agricole et 400 h au CFPPA. Elle est basée sur la comparaison entre agrosystèmes et écosystèmes en vue de donner des clés pour bâtir un agroécosystème. Elle donne des bases solides sur le sol en tant qu’écosystème vivant et permet d’aborder un certain nombre de pistes en agroécologie : techniques culturales simplifiées, semis direct sous couvert, non-travail du sol, agroforesterie, …

Voici les principaux thèmes au programme : approche du sol vivant, initiation aux plantes bio-indicatrices, étude de milieu, diagnostic de sol, assolement et rotation des cultures, cycles des plantes cultivées, associations de culture, agroforesterie, couverts végétaux, engrais verts, … En plus des stages et des cours, des TP sur le jardin pédagogique agroécologique du CFPPA sont proposés aux stagiaires.

La SIL est une formation qualifiante qui atteste d’une qualification agricole dans ces techniques innovantes. Il est possible, après cette formation, de poursuivre un parcours de formation en BPREA (Brevet Professionnel de Responsable d’Exploitation Agricole) pour toute personne ayant un projet d’installation en agriculture. Le BPREA proposé au CFPPA Ariège-Comminges est une formation de 1200 heures dont plus de 400 h de stages en exploitations agricoles. Le BPREA donne la capacité professionnelle pour s’installer en agriculture. Un porteur de projet qui suit ce parcours du PEEA au BPREA en passant par la SIL TCS aura donc bénéficié de plus de 800 h de stages ce qui n’est pas négligeable pour commencer à acquérir de l’expérience.

Vous pouvez consulter la fiche détaillant ces formations  : Présentation PEEA et SIL TCS

Pour tout renseignement vous pouvez contacter le CFPPA Ariège-Comminges au 05.61.67.04.60

TABLE RONDE SUR L’AGRICULTURE COMPAREE MERCREDI 2 AVRIL

30 dimanche Mar 2014

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agriculture biologique, agriculture de conservation, agriculture urbaine, agroécologie, agroforesterie, COPRAE, Jardiniers de Tournefeuille, table ronde, Tournefeuille

Mercredi 2 avril aura lieu à Tournefeuille une table ronde intitulée « l’agriculture sous toutes ses coutures » au phare de Tournefeuille à partir de 20h30.

Ce sera l’occasion d’échanger entre agriculteurs et grand public sur différentes techniques agricoles et modèles socio-économiques : AGRICULTURE biologique, de conservation, urbaine, agroécologie, agroforesterie.

Je serai présent et j’interviendrai pour parler d’agroécologie paysanne.

Cette soirée est proposée par l’Association des Jardiniers de Tournefeuille et le COnseil Permanent Régional des Associations d’Environnement.

Plus d’informations : ici

Plantons, plantons…

02 dimanche Mar 2014

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agroécologie, agroforesterie, arbres

Voici plusieurs années que nous plantons chaque hiver un certain nombre d’arbres sur notre parcelle agroforestière. En effet, celle-ci étant balayée par les vents, nous souhaitons couper le vent d’Autan par des rangées d’arbres, structurer la parcelle et créer des micro-climats plus propices aux cultures.

Les premiers arbres ont été plantés en 2012 comme nous le précisions dans cet article. Nous avons prévu de faire 8 rangées d’arbres à 8 m d’intervalle les unes des autres. Sur le rang les arbres sont espacés de 5 m. Et pour certaines rangées, nous ajoutons des arbustes fruitiers entre les arbres. Les lignes d’arbres se rajoutent à la haie diversifiée d’une centaine de mètre de long avec 16 essences différents plantées en 2011.

A ce jour nous avons planté 59 arbres de 18 essences différentes et une cinquantaine d’arbustes à petits fruits de 6 essences, le tout sur 6 rangées :

– Cerisiers : Hedelfingen, Burlat, Reverchon, Coeur de pigeon

– Féviers d’Amérique

– Gingko biloba

– Mûrier noir

– Pommiers : Fustière, variétés indéterminées

– Noyers hybrides

– Pruniers : Mirabelle, d’Ente, Quetsche d’Alsace

– Poirier : de Curé

– Cormier

– Noyers : Franquette, Royal

– Cognassier : Champion

– Abricotiers : Paviot, Héléna du Roussillon

– Melia azedarach

– Amandier : Ferragne

– Mimosas

– Aubépine

– Acacia de Sibérie

– Erable champêtre

– Vignes : Italia, Muscat, Alvina

– Myrtilliers : Blue crop, Legacy, Pink limonade

– Framboisiers

– Groseilliers : maquereau, grappe

– Noisetiers : Merveille de Bolwiller, Ségorbe, Gunslebert

– Goji

Ces arbres constituent une assurance pour l’avenir. Nous ne verrons sans doute pas ou peu les effets de la plupart, mais nous sommes convaincus de l’importance qu’il y a à planter des arbres pour les générations futures.

Alors plantons, plantons…

Dernier numéro de la revue « Les Nouvelles » de l’association Terre & Humanisme

23 dimanche Fév 2014

Posted by ariegeagroecologie in Revue de presse

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agroécologie, agroforesterie, Les Nouvelles, Terre & Humanisme, Terre et Humanisme

J’inaugure ici une nouvelle rubrique « Revue de presse » avec le dernier numéro, le 84, de la revue « Les Nouvelles » de l’association Terre & Humanisme publié récemment :

les nouvelles 84

Ce numéro est consacré spécifiquement au thème de l’agroforesterie. Et, après l’avoir lu, je dois dire qu’il est excellent. En voici le sommaire :

les nouvelles 84 sommaire

J’invite donc toute personne sensible à ce sujet ou tout simplement curieuse, à consulter ce numéro qui fait un tour d’horizon plutôt complet de la question.

Bonne lecture !

Une nouvelle formation au CFPPA de Pamiers

03 lundi Sep 2012

Posted by ariegeagroecologie in Ils nous font confiance

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agroforesterie, BRF, centre de formation, couverture permanentes, exploitation agricole, paillages, SDC, semis direct, semis direct sous couvert, TCS, techniques culturales simplifiées, techniques de conservation

Le CFPPA de Pamiers (Centre de Formation Professionnelle et de Promotion Agricole) propose, en cette rentrée scolaire, une nouvelle formation innovante : une SIL (Spécialisation d’Initiative Locale) techniques de conservation des sols. Il s’agit d’une formation qualifiante utilisant des techniques agroécologiques et visant à l’amélioration et au maintien de la fertilité des sols.

Les thèmes abordés sont les suivants : l’agroforesterie, les techniques culturales simplifiées, les cultures intermédiaires et les engrais verts, le semis direct sous couvert, les paillages et les couvertures permanentes, les BRF.

La formation comporte 820 h dont 420 h de stage en exploitation agricole et s’échelonne du 8 novembre 2012 au 19 avril 2013. La formation est compète pour cette année. Elle sera reconduite l’année prochaine aussi n’hésitez pas à contacter le CFPPA pour demander un dossier d’inscription si vous êtes intéressés (secrétariat au 05.61.67.04.60 ou bien cfppa.pamiers@educagri.fr).

Autre point important : l’exploitation du lycée agricole de Pamiers met à disposition du CFPPA une parcelle de 2 ha qui servira de support à la formation proposée. Des rangées d’arbres seront notamment implantées durant la session, et des parcelles seront mises en place pour tester différentes techniques culturales . Cette parcelle s’ajoute aux 4.000 m² du jardin pédagogique déjà utilisé dans le cadre des formations en maraîchage biologique.

Cette SIL est une bonne entrée en matière pour des personnes qui ne connaissent pas bien l’agriculture et qui ont envie de se lancer sans avoir encore un projet bien défini. Il est possible de poursuivre après la SIL par un BPREA (Brevet Professionnel de Responsable d’Exploitation Agricole) si on veut acquérir la capacité professionnelle par la suite. Cette formation s’adresse également à des gens qui pratiquent déjà et qui veulent se former à ces techniques particulières de conservation des sols. Je termine en précisant que j’interviens pour une bonne part dans cette formation avec une approche agroécologique.

ORGANISATION DES ESPACES DE LA FERME

12 mardi Juin 2012

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agroforesterie, arbres fruitiers, assolement, autonomie alimentaire, cultures, prés-vergers

Nous travaillons depuis 8 ans maintenant à l’aménagement de la ferme et les choses ont bien progressé depuis le démarrage. Nous nous lançons, depuis cet hiver, dans un diversification des productions toujours dans une perspective d’autonomie. Nous avons donc commencé à implanter des lignes d’arbres dans la parcelle de cultures afin de limiter l’effet des vents dominants (Autan et Nord-Ouest) et créer ainsi des micro-climats plus favorables aux cultures. C’est ce que l’on appelle l’agroforesterie. Depuis quelques années, nous avons aussi implanté deux vergers qui ont un double usage : servir de pâturage aux brebis et produire des fruits. C’est ce que l’on appelle des prés-vergers. La première fonction est opérationnelle alors que la seconde demande plus de temps avant d’être effective en fonction de la croissance des arbres fruitiers.

Le territoire de la ferme se décompose donc en diverses productions : bois, prairies, légumes, fruits, céréales, cultures fourragères, …

Le plan suivant donne un aperçu de la répartition des espaces. Sur les 8 rangées d’arbres prévues dans la parcelle agroforestière, 3 sont plantées. Les autres seront réalisées ultérieurement. La rangée à l’Est sera une haie fruitière avec différents niveaux : arbres de haute tige, arbustes fruitiers (groseillers, framboisiers,..), plantes herbacées (consoudes, …) et plantes grimpantes (ronces fruitières). Sur la bordure Est nous avons implanté une haie diversifiée en limite de propriété. Nous avons bénéficié pour la plantation (fourniture des plants et plantation proprement dite), le paillage (broyât de branches) et les premiers entretiens (débroussaillage et taille d’hiver) de l’aide de la Communauté des Communes du Canton de Saverdun qui a pris totalement en charge ces opérations. La haie comporte une centaine d’arbres de 16 essences différentes : bourdaine, buis, cornouiller sanguin, noisetier, genêt à balais, houx, prunellier, sureau noir, troène, viorne obier, laurier tin, arbre de Judée, épine vinette de Juliana, cotoneaster franchetti, lilas, deutzia. L’objectif est de ramener de la biodiversité pour accueillir le maximum d’auxiliaires.

Les blés sont semés

15 mardi Nov 2011

Posted by ariegeagroecologie in Les nouvelles de la ferme

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agroforesterie, blé, blés boulangers, engrais verts, parrainage semences, variétés anciennes

Blé "Pancho"

Après quelques pannes du tracteur (toujours au bon moment..), je suis parvenu à semer la parcelle prévue en blés. Pourquoi blés ? Car j’ai semé plus de 2000 m² avec un mélange d’anciennes variétés de blés boulangers : Blé d’avril, Provence non barbu, Barbu de Toscane, Rouge de Bordeaux, Pèche Vèque de Rodez et Touselle rouge de la Drôme. J’ai aussi semé le blé que je fait depuis plusieurs années : Pancho (une variété plus récente).

Ces blés serviront à nourrir les animaux et nous donneront de la farine grâce au moulin que nous venons d’acquérir. En plus de ces variétés, j’ai aussi semé en toute petite quantité d’autres céréales pour en conserver la semence : Cebada Orge d’Italie, Seigle Cussac calardes et Blé Rouge de Clairvaux. Une part de la récolte sera retournée à l’association pour laquelle je parraine ces semences, Savoirs de Terroir qui a créé un conservatoire de semences : Balseli.

La parcelle semée en blé fait l’objet d’un projet d’agroforesterie. Nous avons prévu d’implanter des rangées d’arbres à 8 m d’écartement pour ramener de la biodiversité. Les cultures de céréales et de légumes se feront entre ces arbres. Les rangées seront implantées perpendiculairement au vent dominant, le vent d’Autan de façon à limiter son incidence et à créer un micro-climat plus propice aux cultures. Les deux rangées extérieures seront des haies fruitières avec des arbres de haute tige, des arbustes fruitiers, des plantes de sous-bois et des lianes. Pour plus de renseignements sur l’agroforesterie vous pouvez visiter le site de François Gardey de Soos, paysan de l’Aude et pionnier de l’agroforesterie.

La préparation de la parcelle, dont une bonne moitié était implantée en engrais vert (moutarde, phacélie, trèfle blanc,..), s’est faite au vibroculteur en 4 passages croisées. J’ai effectué le semis à la main en semant en même temps que les blés du trèfle blanc sur l’emplacement des futures lignes d’arbres. Il n’y a plus qu’à attendre que tout lève…

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